Le projet consiste à rénover la partie hébergement du bâtiment existant afin d’offrir une plus grande qualité de vie aux résidents. De plus une extension permettra à l’établissement de compléter et augmenter son offres de lits.
La maison de retraite est implantée au milieu d’un quartier residentiel peu dense. Ce sont des pavillons qui s’implantent ça et là, par grappes. Ils sont tous marqués par l’architecture locale : toits tuiles à deux, trois ou quatres pans, façades aux enduits rappelant la terre locales. L’établissement se veut à l’échelle de la ville, repectueux de son territoire et soucieux du bien être de ses résidents.
Le projet d’extension puise dans l’architecture vernaculaire et notamment l’image des caves du minervois. Il reprend cette organisation pour décomposer les unités de vie en petits hameaux de maisons agencés autour d’une place, le patio qui permet une vie intérieure à l’abri. Pour renforcer cette idée de partition du bâtiment, les pignons sont asymétriques. Il en résulte un épannelage varié qui permet de renforcer la lecture du bâtiment.